En décembre 2017, après avoir fait une très mauvaise blague sur le plateau de « Touche pas à mon Poste », Tex avait été limogé. Une exclusion faite par la direction de France Télévisions. Quelques années plus tard, l’animateur revient sur le verdict de la justice et les procédés horribles de la production. La rédaction de LD People vous explique tout.

Tex est ruiné après son procès


Tout le monde se souvient d’expulsion de Tex survenu en décembre 2017. Mais pour quel motif ? Parce que c’était la première fois qu’un humoriste se faisait sanctionner après une mauvaise blague sur un autre plateau. Suite à cette expulsion, l’ancien animateur des « Z’amours » avait saisi la justice mais il a été vaincu lors de son procès face à la société de production du jeu le 3 janvier 2020. Pour nos confrères de Radar, le podcast d’Eric Dussart, il a accepté de revenir sur ce moment difficile.

Alors que Tex réclamait 1,2 million d’euros à son ancien employeur, le conseil des prud’hommes de Paris a confirmé le licenciement. Selon lui, c’est à cause d’une faute grave mais ne lui accordé « juste » 46 000 € de préjudice. Une décision qu’il ne comprend toujours pas : « On est ruiné. On n’obtient pas de dommages et intérêts. Le minimum déjà on le perd. C’est-à-dire que les indemnités de licenciement, qui étaient mon unique demande, on les perd.

Sommes-nous privés de nos droits ? Quand vous êtes viré après 20 ans de travail, vous devez avoir l’équivalent de deux ans de salaire ! Moi, je n’ai rien. Je trouve ça répugnant. On est dans un monde répugnant. Je le sais un petit peu… ».

Tex dénonce un abus !


Après avoir compris ce qu’il se passait, Tex a déclaré qu’il avait fait de sa forme physique et mentale une priorité. « Ce que j’ai entretenu en premier : c’est ma santé. Parce que si jamais vous vous laissez dévaster par ça, très vite, vous avez une tumeur. J’ai voulu garder ma sérénité, confie-t-il. J’ai beaucoup bougé, j’ai réalisé des spectacles… Je me suis protégé ». Concernant sa blague, Tex n’en démord pas : il est victime d’un « abus disproportionné ».

Tex conclut ensuite son propos en revenant sur les accusations de la société de production qui affirmait qu’elle disposait des preuves où on pouvait entendre l’animateur tenir des propos chocs sexiste. « C’est une espionnite interne. Ça m’a fait beaucoup de mal. Ça a fait du mal à ma famille. Mais c’est répugnant. Cette procédure, c’est dégueulasse. Je ne savais même pas qu’on avait le droit de faire ça. C’est vraiment dégueulasse. Mais c’est le monde impitoyable de la télé«. Et effectivement, la rédaction de  LD People trouve que ce procédé et assez affreux.