Renaud, Chanteur à succès est une célébrité à part entière. Malheureusement, la vie de la star n’a pas été toujours aussi calme et agréable que maintenant. Bien au contraire, ses débuts ont été particulièrement difficiles.

D’autant plus qu’il n’avait pas le soutien de ses proches dont son père. L’événement « Renaud, putain d’expo » qui commence ce vendredi 16 octobre, apporte justement des précisions quant à sa relation avec ce dernier. Retour sur cette lettre qui a tout changé pour le chanteur !

Renaud et son père, une jalousie familiale


L’état de santé de Renaud est très préoccupant actuellement. En effet, ce dernier serait encore en convalescence aux suites de son emphysème pulmonaire. De son côté, son frère jumeau faisait des confidences sur lui auprès du  « journal du dimanche » le 11 octobre 2020. David Séchan y avait en effet évoqué les tensions qu’il y avait toujours eues entre son frère et leur père.

Olivier Séchan était un écrivain qui n’avait jamais réussi à percer. Il est donc devenu jaloux de la célébrité de son fils Renaud avec le temps. Il déclare d’ailleurs que leur père ne comprenait pas comment on pouvait vivre grâce à la chanson ou encore « comment on pouvait gagner autant d’argent avec une « chansonnette » écrite sur un flipper dans un bistrot… ».

Mistral gagnant, le titre qui aura été le coup de grâce de Renaud à son père


Invité sur « Laissez-vous tenter » sur RTL, le frère jumeau de Renaud avait évoqué son expo dédiée à la carrière du chanteur. David Séchan avait aussi fait part de la réaction de son frère quand il a appris qu’une exposition sur lui était en projet. Selon lui, le chanteur est enthousiasmé à l’idée de partager son parcours artistique et humain.

Par ailleurs, les visiteurs auront l’occasion de lire la lettre pleine de reproches que son père avait écrite à Renaud. Le titre Mistral gagnant en avait été la principale cause et le paternel y mentionnait qu’il ne comprenait pas comment chanter pouvait rapporter plus que les livres. Olivier Séchan reprochait aussi à son fils de participer aux « Victoires de la musique », qu’il jugeait idiotes.