Depuis plusieurs semaines, le journaliste Patrick Poivre d’Arvor est dans la tourmente. En effet, une journaliste a porté plainte contre lui pour des raisons d’abus sexuels. D’après cette dernière, les faits se sont déroulés entre 2004 et 2009. Pour le moment, l’affaire est entre les mains de la justice. Entre temps, PPDA insiste sur le fait qu’il est innocent et se rend même sur le plateau de Quotidien pour donner sa version. Ses dires ne sont pas malheureusement très convaincants. Il expliquait qu’avant il était possible de “faire des bisous dans le cou” à des jeunes femmes sans qu’elles ne se fâchent. Quelques jours plus tard, ce sont huit nouvelles plaintes qui sont déposées contre PPDA.
PPDA clame son innocence et il est prêt à tout pour sortir de cet enfer !
Parmi les nouveaux témoignages, nombreux des faits sont sollicités. Mais la parole des demandeurs comptent tout de même pour soutenir le dossier de Florence Porcel. En effet, plusieurs éléments des récits sont en co-relation pour faire passer PPDA pour une personne dotée d’un égo démesuré et très agressif envers les femmes. Dans le magazine de Sophie Davant, S, c’est Christine Ockrent qui fait part de son parcours de journaliste. Elle a travaillé dans la même période que PPDA, elle a même partager son bureau avec le journaliste. Elle est la deuxième femme française à avoir présenté le JT de 20h. Christine Ockrent était ensuite affectée sur un projet pour mener des interviews politiques. À 76 ans, elle a pris sa retraite mais garde les souvenirs.
Dans les années 80, celle que l’on nommait “La Reine Christine” a partagé son bureau avec PPDA. Le journaliste avait une réputation qui le précédait. Celle d’avoir un hautin. Et comment pourrait-on le décrire autrement ? Après tout, il était l’homme le plus médiatique de son époque. Avant internet et les réseaux sociaux, la célébrité n’était seulement pas attribuée à ceux et celles qui passaient à la télévision. Et PPDA était celui qui y était surement le plus vu. Non seulement il présentait son JT, mais en plus, il était aussi nommé dans les Guignols de l’info comme présentateur vedette. Personne ne pouvait ignorer qui il était.
Christine Ockrent dévoile tout sur Patrick Poivre d’Arvor
Ce témoignage risque aussi d’accaparer la une des magazines et de s’ajouter aux récits de folie des grandeurs à l’encontre de PPDA. En effet, plusieurs dires de ses supposées victimes racontent qu’il déteste se faire rejeter une femme. L’une raconte que c’est en sachant cela qu’elle n’a rien dit sur ce qui s’était passé entre eux loin des regards. Elle l’a quand même fait même si elle n’était pas consentante. Il s’agissait d’Hélène Devynck, journaliste de LCI. Elle était l’assistante de PPDA de 1991 à 1993 et se souviendra toujours de ces gestes déplacés envers elle.
Une autre journaliste nommée Clémence de Blasi a refusé de décrocher les coups de téléphone de PPDA suite à leur entrevue. Quelques jours plus tard, son patron reçoit un appel du journaliste pour recevoir une plainte quant à son travail. PPDA aurait donc été prêt à briser des rêves ? Cette accusation ne va encore une fois pas dans le sens de sa défense. Il précisait, par la parole de son avocate, qu’il n’a jamais e recours à la force envers ses plaignantes… Un dossier à suivre de près !